Shi Qi | Dans les replis du temps
Espace Culturel ICICLE de Paris.
Du 20 mars au 15 mai 2025.
35 avenue George V, Paris.
Du 20 mars au 15 mai 2025.
35 avenue George V, Paris.
Pour inaugurer sa saison 2025, ICICLE présente la première exposition personnelle en France de l’artiste chinoise Shi Qi.
Intitulée « Dans les replis du temps », l’exposition offre un parcours méditatif à travers les œuvres de l’artiste réalisées entre 2024 et 2025. À la fois peintures et sculptures de papier, ces créations en trois dimensions prennent vie à travers un protocole artistique où se conjuguent rigueur et hasard, maîtrise et lâcher-prise. Dans ce dialogue avec la matière, qui est aussi un itinéraire spirituel imprégné de philosophie bouddhiste, le pli occupe une place centrale. Plus qu’un simple procédé ou un motif récurrent, il est une véritable matrice, un espace de transformation entre le visible et l’invisible. Il est un langage à part entière, un moyen d’interroger le temps, la mémoire et l’acte même de créer.
Originaire de Wenzhou et installée à Paris depuis plus de vingt ans, Shi Qi puise dans son vécu personnel et les traditions spirituelles chinoises pour composer des œuvres profondément introspectives. Sa démarche, nourrie par des années de silence et de contemplation, tisse un lien subtil entre abstraction et rituel. À travers l’encre, le collage et le papier plié, elle donne forme aux rythmes invisibles du souffle, du deuil et du passage du temps.
Ancré dans le concept de Qi (气), cette force vitale qui traverse toute chose, son travail évoque la quête universelle de lien et de sérénité intérieure. Cette exposition marquait un retour sensible pour une artiste dont l’expression conjugue l’intime et le spirituel.
Intitulée « Dans les replis du temps », l’exposition offre un parcours méditatif à travers les œuvres de l’artiste réalisées entre 2024 et 2025. À la fois peintures et sculptures de papier, ces créations en trois dimensions prennent vie à travers un protocole artistique où se conjuguent rigueur et hasard, maîtrise et lâcher-prise. Dans ce dialogue avec la matière, qui est aussi un itinéraire spirituel imprégné de philosophie bouddhiste, le pli occupe une place centrale. Plus qu’un simple procédé ou un motif récurrent, il est une véritable matrice, un espace de transformation entre le visible et l’invisible. Il est un langage à part entière, un moyen d’interroger le temps, la mémoire et l’acte même de créer.
Originaire de Wenzhou et installée à Paris depuis plus de vingt ans, Shi Qi puise dans son vécu personnel et les traditions spirituelles chinoises pour composer des œuvres profondément introspectives. Sa démarche, nourrie par des années de silence et de contemplation, tisse un lien subtil entre abstraction et rituel. À travers l’encre, le collage et le papier plié, elle donne forme aux rythmes invisibles du souffle, du deuil et du passage du temps.
Ancré dans le concept de Qi (气), cette force vitale qui traverse toute chose, son travail évoque la quête universelle de lien et de sérénité intérieure. Cette exposition marquait un retour sensible pour une artiste dont l’expression conjugue l’intime et le spirituel.
